Alors qu’en mai 2017, le parlement suédois a rejeté l’obligation vaccinale en raison notamment de « réactions indésirables graves et fréquentes » et de la présence dans les vaccins de nombreux additifs mauvais pour la santé (article), le parlement français s’apprête à adopter une loi qui rend 11 vaccins obligatoires (au lieu de 3 actuellement) ! Le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2018 le présente dans son article 34. Ce projet de loi est discuté ces jours-ci. J’ai pris rendez-vous avec ma députée pour lui dire ma grande inquiétude. Autant que mon travail de préparation serve à plusieurs.
Les 11 vaccins qui deviendraient obligatoires pour les enfants nés après le 1er janvier 2018 sont listés ci dessous. J’ai mis pour chacun d’eux l’âge auquel la vaccination est demandée par le calendrier vaccinal français (je n’ai pas indiqué les rappels) :
1° Antidiphtérique : 2 mois
2° Antitétanique : 2 mois
3° Antipoliomyélitique : 2 mois
4° Contre la coqueluche : 2 mois
5° Contre les infections invasives à Haemophilus influenzae de type B (grippe ?) : 6 mois
6° Contre le virus de l’hépatite B : 2 mois
7° Contre les infections invasives à pneumocoque : 2 mois
8° Contre le méningocoque de sérogroupe C : 5 mois
9° Contre la rougeole : 5 mois
10° Contre les oreillons : 5 mois
11° Contre la rubéole : 5 mois
Cette proposition suscite de sérieux doutes pour ne pas dire de graves inquiétudes.
La question de l’adjuvant aluminium n’est pas réglée alors que les dégâts produits par l’aluminium vaccinal sont reconnus. Plusieurs dizaines de milliers de Français pourraient être atteints de myofasciite à macrophages, maladie très invalidante. Le Conseil d’État a établi une solide jurisprudence avec, depuis fin 2012, huit arrêts consécutifs favorables à la reconnaissance du lien entre aluminium vaccinal et myofasciite à macrophages (voir expertise de l’association des malades E3M).
Il est absurde de vacciner des nourrissons à un âge où leur système immunitaire est encore en construction. Le vaccin censé stimuler les défenses immunitaires vient en fait perturber la construction de celui-ci. Il y a un risque de fragilisation des organismes de ces enfants. Comme le dit le professeur Joyeux : « A près de deux ans, le système immunitaire est en place, capable de fabriquer les anticorps et de mémoriser les agressions. C’est le moment idéal pour vacciner l’enfant contre les maladies vraiment dangereuses. »
Quel est le sens de vacciner contre des maladies bénignes ? Dans leur livre « Vaccins : oui ou non ?« , les scientifiques reconnus au niveau international Stefano Montanari, Antonietta Gatti et Serge Rader rappellent que la rougeole, la varicelle, la scarlatine et la coqueluche sont des maladies bénignes de l’enfance. Il y a quelques décennies, on favorisait le fait que les enfants les attrapent car ensuite l’immunité est acquise à vie (ce qui n’est pas le cas avec les vaccins). En outre, vacciner pour un grand nombre de maladies, y compris les moins agressives, risque de constituer une population protégée seulement de manière fragile et donc susceptible de moins bien se défendre face à de nouvelles pathologies ; incapable en outre de transmettre à sa descendance des défenses immunitaires efficaces.
Quel sens de vacciner contre la grippe ? Tous ceux qui se penchent sur le sujet découvrent que le vaccin est peu efficace voire inefficace (voir l’étude Cochrane qui compile un très grand nombre d’études). Le directeur national de la Santé du Québec, le Dr Horacio Arruda a d’ailleurs écrit dans le journal de Montréal (27 septembre 2016) que l’inefficacité du vaccin ces dernières années posait la question de la pertinence du programme vaccinal.
Enfin, je vous recommande de découvrir l’enquête de grande qualité menée par Anne Gourvès, docteur en génotoxicologie et cadre dans l’industrie pharmaceutique, pour la revue Nexus. Cette enquête a été conduite dans le cadre de l’obligation de 3 vaccins mais de l’impossibilité de les trouver seuls. Elle reste pertinente, elle pose la question des responsabilités pénales en cas d’accident post-vaccinal, celle du contenu des vaccins, celle de l’efficacité (en particulier pour le tétanos), celle du droit d’informer… Et elle relate ses échanges avec un expert es-vaccins, Roberto Burioni. Une suite de cette enquête a été publiée quelques mois plus tard : Anne Gourvès répond aux critiques de son 1er article parues sur le site initiative rationnelle. Vous pouvez acheter les numéros 106 et 112 de la revue Nexus. Je les ai aussi scannés : 1er article (16 pages) , 2e article (9 pages).
J’ai volontairement omis de parler dans cet article des graves problèmes de santé survenus après l’administration d’un vaccin. J’en parle un peu dans mon article précédent « Vaccins : totem et tabou« , avec notamment le lien vers le film Vaxxed sur mettant en cause le vaccin ROR dans l’épidémie d’autisme aux USA.